jeudi 29 novembre 2012

007


Daniel Craig ne cesse de nous impressionner avec ses cascades et ses combats contre l'ennemi. Dans ce dernier film, notre super agent se montre plus sensible. Un côté de cet homme encore jamais dévoiler au grand écran, soit celui de son enfance, vient nous surprendre dans le milieu d'une enquête qui le vise lui et son bureau en particulier. L'action qui nous surprend toujours en début de film ne revient que vers la fin. Entre les deux, le passé de James Bond, grand, beau et imbattable agent, nous surprend. Pour ma part, j'ai apprécier ce dernier film de James Bond. L'homme fatal laisse place à un nouvel homme qui ne cesse de nous impressionner malgré des faiblesses qui sont totalement humaines. Le scénario du film est complet et simple à comprendre. Les images sont toujours aussi belles en ce qui concerne les poursuites des méchants, comme sur le toit des maisons en moto ou dans le train avec l'arrivé de James Bond, malgré une blessure par balle à l'épaule,  parmi les passagers pour attraper l'homme qu'il traque. Bref, bien que tous les films de l'agent 007 soit très bien fait, les effets spéciaux de celui-ci sont très bien réussis. 




Twilight 4, 2ième partie

Twilight Révélation est une grande réalisation de Bill Condon qui est arrivée au grand écran en novembre dernier. Ce film met en vedette Kristen Stewart, Robert Pattinson ainsi que Taylor Lautner. 

Critique---- 

Je dois avouer que je suis une très grande fan de Twilight, et ce, depuis que j'ai 14 ans, mais le dernier film est selon moi le meilleur depuis le début de la saga. Les images du film sont incroyablement belle. Tout me semble réel malgré le monde plutôt fantastique dans lequel les vampires et les loup-garou se trouvent. Bien que le scénario du film ne respecte pas parfaitement celui de la deuxième partie du dernier roman, je suis remarquablement satisfaite par l'histoire qui m'a été dévoilé au grand écran le 15 novembre dernier. Le fait d'avoir lu et pratiquement appris les répliques de tous les romans Twilight depuis le début mon d'adolescence font de cette saga celle qui aura marqué ma vie de jeune fille et qui m'aura fait tant rêver. Ce dernier film est sortie en salle alors que ma vie d'adulte prenait ses débuts. Le tout me fait apprécier d'avantage cette dernière réalisation...   

lundi 26 novembre 2012

Madagascar


Madagascar est un film d'animation réaliser par Eric Darnell et Tom McGrath, produit par DreamWorks Animation et sorti dans les cinémas en 2005. 

C'est personnages attachant aux caractéristiques humaines ont su charmer de nombreux publics. C'est film sont adressé aux petits comme aux grands. J'aime beaucoup écouter ce genre de film pour relaxer et me changer les idées. La beauté des images rend les films encore plus intéressants. Que ce soit le premier ou le dernier film, le petit côté humoristique qui est adressé aux plus vieux me plait particulièrement. C'est ce qui capte le plus mon attention et ce qui me fait apprécier ce que je regarde. D'autres petits films font aussi suite à cette trilogie, soit les histoires avec les pingouins qui sont des personnages secondaires dans les films de Madagascar. Bref, je crois que se sont des film d'animation merveilleux à voir autant pour leur scénario et leur réalisation. 


vendredi 23 novembre 2012

Valse avec Bashir

Film d'animation documentaire réalisé par Ari Folman et sorti en 2008. Ce film d'animation à gagné de nombreux prix dont le Golden Globe Award du meilleur film étranger.  

Critique----
Ce film d'animation dénonce une réalité qui persiste encore aujourd'hui et c'est pourquoi j'ai apprécié l'écouter en classe. Les images en disent beaucoup et c'est touchant. Par contre, il ne s'agit pas d'un film que j'aurais écouter dans un autre contexte car je ne suis pas attirer par ce genre de film qui sont basé sur des faits vécus. Malgré ce fait, je crois qu'il s'agit d'un grand oeuvre dans le domaine du cinéma d'animation car la réalisation du film et les images sont esthétiquement très bien réussis.  

Langage cinématographique----

Cette image sert d'insert dans le film. Dans le regard du cheval, on voit un homme qui se tien devant lui ainsi qu'un décor de guerre. La caméra à fait un travelling avant sur cette image et cela représente bien la détresse dans les villes face à la puissance des hommes dans une guerre. 

Dans ce film, on retrouve aussi un ellipse fort intéressant. Lors d'un combat entre soldats israéliens et palestiniens, un tank explose et l'équipage y meurt. Par contre, un homme sort avant l'explosion et va se cacher derrière un rocher pour se protéger. D'un coup, on ne voit que lui, assit à attendre la fin des bombardements. Le ciel bleu change de couleur et laisse place à un ciel noir avec des étoiles, ce qui signifie que c'est la nuit. En quelques secondes,on a fait un saut dans le temps pour voir la suite des évènements. De cette façon, on a éliminer une partie du récit qui n'est pas nécessaire à la compréhension de ce dernier. 

Scène marquante----

Une scène qui m'a beaucoup marqué est celle ou les soldats marchent entre les arbres et cherchent la menace autour d'eux.  Un enfant lance une bombe sur le tank des soldats et ceux-ci doivent abattre l'ennemi car il semble encore être en mesure de les attaqué. Un enfant faisait la guerre. Pour moi, bien qui la guerre soit horrible pour les hommes, il ne s'agit pas d'un milieu pour les enfants. 










lundi 12 novembre 2012

Kiss Kiss Bang Bang


Critique ----

J'aime les films contenants des intrigues qui ne sont pas simples à découvrir et à comprendre. Les personnages sont bien présentés, et ce tout au long du film, avec l'aide de flash-back. L'action est présente et divertissante, ce qui est très captivant. Le coté humoristique du film le rend encore plus intéressant et donne des caractéristiques loufoque au personnage principale. Le scénario du film est complet et la réalisation du film a été très bien exécuté. J'ai adoré visionner ce film... Je suis curieuse de voir quel sera notre prochain visionnement. 

mardi 6 novembre 2012

Le Dahlia noir


Réalisation----

Le Dahlia noir est un film qui a été réalisé en 2006 par Brian De Palma. 

Résumé----

Cette histoire se passe autour des années 1940 dans la grande ville de Los Angeles. Deux détectives, Lee et Bucky, doivent résoudre une affaire de meurtre d'une femme qui a été découverte complètement mutilée. Cette histoire devient de plus en plus mystérieuse et compliquer à résoudre. Les deux hommes s'acharnent sur ce sujet, mais leur recherchent ne sont pas concluantes. On entre alors dans la fameux mystère du Dahlia noir, soit le nom donné à la femme qui est décédé. 

Appréciation-----

J'ai trouvé ce film particulièrement intriguant et captivant. Je croyais avoir fait un mauvais choix de film dans les 15 premières minutes, car les évènements déboulent sans qu'on en comprenne vraiment le sens, mais l'histoire m'a ensuite captivé jusqu'à la toute fin. Le concept est fort intéressant. Un mystère dans une grande ville mais qui ne concerne finalement que quelques personnes. J'aime les films ayant un bon suspens et celui là en fait définitivement partie.  

Thèmes du Dahlia noir----

Plusieurs thèmes du film noir apparaissent dans ce film. Tout d'abord, il y a bien sur un crime, soit le meurtre d'une jeune femme, suivie d'une action principale qui se trouve dans la grande ville de Los Angeles et qui se déroule souvent dans la nuit. Les rues et les pièces sombres sont présentes à de nombreuses reprises. Ce film témoigne aussi de sadisme. L'exemple du corps de la femme retrouvé mutilée de le tête aux pieds en est un bon exemple. Il ne faut pas oublier le renforcement de l'érotisme qui est présenté de façon particulière avec la réalisation d'un film pornographique. 


Les personnages typiques----
Détective

Les deux personnages typiques du film sont des détectives, donc appartiennent à la catégorie de gens qui cherchent la vérité et qui veulent faire respecter la loi. Il ne faut pas oublier l'importante présence de femmes fatales dans ce film. En effet, les femmes comme Kay et Madeleine sont prêtes à utiliser toutes les armes et surtout leur sexualité pour obtenir ce qu'elles veulent vraiment. Elles ne veulent plus être dominé par l'homme. 
Kay
Madeleine












Caractéristiques stylistiques----

L'éclairage du film qui est plutôt clair-obscure caractérise bien se film de Film Noir. L'atmosphère baigne toujours dans le sombre et le contrasté. De plus, l'utilisation fréquente des contres-plongée démontrait un pouvoir aux personnages principaux concernés. 
Clair-obscure


D'autres caractéristiques comme les intrigues complexes, l'utilisation de la voix off et le recours aux flash-back révèlent facilement que ce film appartient à la catégorie des Films Noirs. 

Fait cocasse: La cigarette peut aussi nous donner une petite indice concernant les caractéristiques du Film Noir. 









mercredi 31 octobre 2012

Thirst

                                           

Fantastique----
Il s'agit d'un film fantastique tout d'abord à cause des personnages typiques qui sont représentés par des vampires. De plus, l'univers nocturne du film nous dévoile un aspect technique qui est attribuer aux films fantastiques. En effet, les images sombres et contrastées sont présentes dans ce film puisque les personnages principaux sont des vampires et qu'ils ne peuvent sortir le jour. 

Terreur ou horreur----
Ce film ressemble plus à un film de terreur que d'horreur. En effet, ce film démontre plus d'angoisse et de suspense, ainsi que des moments de crainte face aux évènements qui pourraient arriver. Par exemple, on se pose souvent des questions sur la véritable identité qu'est devenu le prêtre après son expérience scientifique. Le suspense face à la raison pour laquelle l'homme boit du sang dure pendant un certain temps. Bref, il y a plusieurs petits exemple qui me font croire qu'il s'agit d'un film de terreur et non d'horreur. 



mercredi 24 octobre 2012

King Kong

Résumé----


Anne est une artiste qui voit sa carrière se brisé devant elle. Se retrouvant sans emploi, la jeune femme rencontre l'audacieux explorateur-réalisateur Carl Denham et se laisse entraîner dans la plus périlleuse des aventures. Avec l'aide d'une petite équipe de tournage, ils partent à la découverte de la mer. Ils se retrouvent rapidement sur une île perdu, où le danger ne cesse de les surprendre. Anne se fait kidnapper  par une bête énorme et l'équipage du bateau part à sa rescousse. L'aventure fantastique commence alors, puisque cette île est composé de nombreux mystères qui mettent l'équipage dans de drôle de situations. 


Caractéristiques: 

Il s'agit d'un univers réaliste, avec des personnages réel, dans des lieux réel, New-York, un bateau, l'océan, une forêt... Aussi composé d'éléments qui sont plutôt étranger et surnaturel, comme les dinosaures, les bestioles géantes dans la forêt, King Kong... C'est éléments surviennent de façon inattendue dans le film. Il y a toujours quelque chose qui nous surprend, quelque chose qui n'est pas réel ou humain. 

Personnages typiques: 
Les personnages fantastique du film sont des monstres physiologique. Il y a plusieurs types de monstres, comme la tribu d'humains qui semblent être possédés, caractérisé comme étant des choses né de l'artifice humain mais qui n'appartienne pas vraiment à notre race et puis les créatures animal, comme les insectes, les dinosaures, les chauves-souris et finalement, le King Kong. 


Lieux: 
Les lieux ou l'action du film est qualifié de fantastique sont des lieux clos, parfois dans des grottes ou dans des lieux souterrain, mais l'action se passe principalement dans une forêt. 

Thèmes:
Le thème principal du film sont les anormalités sous tous les aspects, comme le gigantisme des lieux et des animaux et aussi en ce qui concerne King Kong, il y a de l'anthropomorphisme car il ressent vers la fin du film des sentiments humains. 

Aspects techniques: 
Le film est accompagné d'une trame sonore impressionnante. Il y a toujours une tonalité musical qui l'accompagne. Si l'action suscite une intrigue ou quelque chose de plus effrayant, la chanson va provoquer une crainte, alors que dans les moments ou tout va bien, la musique est plus encourageante. 

Le climat varie souvent, la brume arrive dans les moments les plus intriguant, ou on veut voir ce qui se passe, mais on ne voit pas plus loin que le bout du nez des personnages. Les angles de caméra démontrent aussi l’infériorité des personnages dans des lieux mystérieux et dangereux. 

L'intrigue du film se passe dans le noir et une fois que le mystère semble se résoudre, la lumière du jour apparaît. Par contre, pendant l'intrigue, les images sont sombres et contrastées. De plus, la domination des teintes bleutée dans les scènes sombres sont très apparente. 

Domination des teintes bleutées






mardi 16 octobre 2012

Pulp Fiction

Résumé----

Pulp Fiction est un film de gangsters américains réalisé par Quentin Tarantino et sorti en 1994. Il s'agit d'une histoire d'action qui ne suit pas un courant linéaire. En effet, il peut paraître compliquer de comprendre le déroulement de ce film, mais le tout est très intéressant à suivre. En bref, on raconte l'histoire de quatre personnages qui n'ont pas vraiment d'histoire commune ensemble. C'est plutôt dans la violence et dans une humour particulière que les personnages vont développer des liens qui vont faire avance le film et le rendre captivant. 

Samuel L. Jackson: Jules Winnfield
John Travolta: Vincent Vega
Uma Thurman: Mia Wallace
Bruce Willis: Butch Coolidge

Appréciation----

J'aime bien les films de Quentin Tarantio. Que ce soit les Kill Bill, Pulp Fiction ou encore Reservoir Dogs, je trouve que cet homme à une façon unique d'adapter un film à son public, tout en étant différent des autres réalisateurs. Le genre de discours et de réplique typiquement américaine rende ses films passionnants et divertissants. Ses films sont plutôt complexes à la base, souvent réalisé à l'aide de «Flash Back», mais le tout se fait avec une bonne dose d'humour, d'action et de violence. Bien que ses réalisations ne soient pas perçues comme étant des chef d'oeuvre, j'accorde beaucoup de mérite à Quentin Tarantino pour oser réaliser des films de ce genre. 


Éléments cinématographiques----

Plan séquence: Jules et Vincent marchent dans les couloirs d'un immeuble et discute de Mia, tout en essayant de trouver l'appartement des garçons qu'ils recherchent. La caméra les suit pendant tout leur déplacement. Il y a aussi la notion de champ dans ce plan séquence car les hommes sortent à quelques reprises du champ pour revenir, en suivant leur continuité dans la direction, à cause des obstacles que la caméra ne peut franchir comme un mur ou une porte. 



Gros plan: Il y a plusieurs gros plans sur le visage de Jules lorsque celui-ci se trouve dans l'appartement des jeunes garçons que lui et Vincent cherchaient. On vise ainsi à comprendre les expressions du personnage, soit la colère. Il y a aussi la notion de supériorité dans cette séquence. Le discours de Jules est important alors on ne cadre que son visage lorsqu'il s'exprime. 



Profondeur de champ: Un flash back montre le moment ou Butch à reçu la montre de son père en cadeau. L'homme en face de lui qui lui explique l'histoire de cette montre est le focus de la caméra. On voit en arrière un flou sur le décor de la maison et sur la mère du petit garçon qui se tient debout dans le milieu de la pièce. Ainsi, les yeux des téléspectateurs se concentrent sur l'action la plus importante, soit celle qui est la mieux illustrée. 



Une autre profondeur de champ nous aide aussi a situer un dialogue entre Butch et la chauffeuse de taxi qui le raccompagne après son match de boxe. Lorsque la femme parle, le focus est sur elle, tandis que lorsque Butch parle, le focus se trouve sur lui. L'emplacement des personnages face à la distance de la caméra est donc relative selon la situation. 





















Travelling circulaire: On fait le tour du sujet, qui est en l’occurrence Butch, lorsque ce dernier parle dans une cabine téléphonique. La caméra, qui se trouve à l'extérieur de la cabine, exécute un tour complet de l'homme, pour finalement revenir à sa case départ. Comme la caméra n'est pas dans la cabine, les obstacles, comme la structure de cette dernière, nous sont perceptibles. Celle-ci cache parfois le personnage pendant une courte période. 


Hors-champ: Fabienne se trouve dans la salle de bain et discute avec Butch, qui lui, juste après être sorti de la douche se cache derrière le mur que l'on voit sur l'image. La scène continu et la discussion entre les deux personnages aussi. Par contre, comme Fabienne est la seul qui nous paraît visible, la voix de Butch est un hors-champs puisque nous devons nous imaginer sa personne. De plus, la femme utilise l'expression du regard hors-champ en s'adressant à un personnage qui est hors-champ. 


Travelling latéral: Juste après ce plan sur Butch, la caméra va le cadrer sur son profil droit, de façon à ce qu'il puisse continuer de courir dans la même direction, tout en effectuant un mouvement de caméra de travelling latéral, donc d'accompagnement dans son déplacement. 





La scène alternée: Lorsque Vincent revient de son souper avec Mia, il va dans la salle de bain s'inventer un discours d’au revoir. Pendant ce temps, Mia met de la musique dans sa maison et fait une overdose de drogue. Les deux actions se passe au même moment,  mais pas dans la même pièce, hors, les personnages ne sont plus en contact direct. Cependant, leurs actions sont toujours simultanées, ce qui crée cette prise de vue sur le montage.  

Ellipse: Jimmie appelle un homme pour qu'il vienne aider Jules et Vincent à nettoyer le meurtre d'un homme  qui s'est fait dans leur voiture. Cet homme mentionne au téléphone qu'il sera avec eux dans 10 minutes. La scène coupe et le début d'une autre commence avec un sous titre révélant ceci: «9 minutes et 30 secondes plus tard». Il s'agit alors d'une ellipse car on a fait un saut dans le temps de quelques minutes, tout en réussissant à faire une continuité dans les évènements. 











Quentin Tarantino aime bien jouer quelques petits rôles dans ses réalisations. Dans Pulp Fiction, il incarne le rôle de Jimmie que l'on découvre seulement vers la fin du film. 











lundi 15 octobre 2012

The Truman Show

Une comédie dramatique réalisé par Peter Weir , sortie en 1998 sur le grand écran. Il s'agit de l'histoire d'un homme du nom de Truman qui habite sur une petite île du nom de Seahaven. Truman avait une vie ordinaire avant de commencer à douter des gens qui l'entouraient et des évènements étranges qui se produisaient autour de lui. Autour de ce mystère, Truman cherche avec vigueur une femme qui lui est précieuse. 

Ce film n'est pas réaliser de la même façon que tous les autres films. En fait, celui-ci veut présenté le quotidien d'un homme sous plusieurs angles, avec plusieurs caméras et décors. Le monde de Truman a été crée pour que les spectateurs puissent suivre la télé-réalité d'un homme qui se croit ordinaire. Truman vit sa vie paisiblement alors que tous les autres autour de lui ont un rôle à jouer dans cette série. C'est pourquoi la réalisation du film est étrange. Il n'y a pas de caméra qui suit le personnage principal et l'action. Il s'agit plutôt de petites caméras, toutes cachées dans le décor de la ville de Seahaven qui captent les moindres faits et gestes de Truman. Sa vie au complet est filmé et raconté au grand public à son insu. Le plan subjectifs devient alors le plan principalement utilisé pour la réalisation de ce film. 

À plusieurs reprise dans le film il y a des scènes alternées entre la série de Truman et la vie des téléspectateurs de celle-ci. Nous voyons les réactions des gens qui regardent l'émission alors que l'action de l'autre côté de la caméra tourne encore. Vers la fin du film, alors que Truman disparaît et que la série télévisé est interrompue, ce concept se fait bien remarquer.


Encore vers la fin du film, un mouvement de travelling latéral capte le personnage de Truman marchant sur le  bord du décor du ciel bleu jusqu'à ce que ce dernier emprunte les marches menant vers sa liberté.



Il y a aussi un insert dans le film sur un bracelet à bille bleu. Il représente Sylvia, la femme tant recherché par Truman. Plusieurs autres partie de son corps comme ses yeux ou ses lèvres sont insérés en très gros plan dans le film car Truman essai de reconstitué le visage de cette femme à l'aide de mannequin dans les revues. 

L'impuissance de Truman est souvent relevé à l'aide de plan de caméra, soit les overhead shot ou bien les plans en plongée. L'élément déclencheur du film est capté en plongé, presque qu'en overhead shot pour montrer l'impuissance de Truman face au monde dans lequel il est prisonnier. Une lumière de studio tombe dans la rue en face de sa maison et Truman commence à ce poser des questions sur les lieux dans lesquels il se trouve. 



De plus, à l'aide des caméras installées partout dans cette ville, il est facile de faire des plans séquences puisque tous les moindres détails sont filmés. Un exemple précis lorsque Truman croit revoir son père dans le milieu de la  rue jusqu'à ce que ce dernier se retrouve seul dans la rue regardant un bus s'éloigner est un bon exemple de long plan et de jeu d'acteur. 





Les effets du monde de Truman



jeudi 11 octobre 2012

Alfred Hitchcock-Rear Window



Résumé-------

Jeff est un photographe qui doit malheureusement passer ses journées entière en fauteuil roulant, dans son appartement, à cause d'une jambe brisé. Pour passer le temps, il observe le quotidien de ses voisins à partir de la fenêtre de son salon. De tous ses voisins, Jeff trouve étrange le comportement de l'homme qui habite dans l'immeuble en face de chez lui. C'est ainsi qu'on entre dans un suspens concernant cette homme, à savoir ce qu'il fait vraiment dans la vie. Jeff, aidé de sa femme Lisa vont donc essayer de trouver la réponse à ce mystère. Cependant, il y a toujours un danger à vouloir connaître la vie des autres...


Critique--------

Rear Window est un film intrigant et captivant, avec une petite touche de cinéma hollywoodien concernant l'histoire d'amour et les stéréotype sur les hommes et les femmes qui sont présent dans tout le film. Le montage est très intéressant. Les scènes, qui sont majoritairement des plans séquences, sont toutes coupées par des ellipses, donc par de petits sauts dans le temps, qui font avancés l'histoire plus rapidement. Malgré le fait que le film se déroule dans le même endroit du début à la fin, j'ai toujours été captivé par les actions qui se déroulaient. Il pouvait avoir certaines longueurs concernant les dialogues entre les personnages, mais c'est avant tout ces dialogues qui font avancé l'histoire et l'intrigue, alors il se doivent d'être présents. Bref, selon moi, il s'agit d'une très bon film qui obtient toute sa beauté et sa créativité d'un principe simple mais fort intéressant, soit, celui de découvrir les personnages figurants en observant leur vie à travers leur propre fenêtre de maison.


Éléments cinématographies-----

Plan rapproché épaule: Ce plan est utiliser plusieurs fois pendant le film, mais il est principalement utilisé sur le personnage de Jeff lorsque celui-ci est assit dans sa chaise roulante et observe ses voisins. La caméra lui fait face en le cadrant des épaules au dessus de la tête, et ce, peut importe la direction dans lequel il regarde.




Gros plan: La caméra cadre les lèves ainsi qu'une partie des visages de Jeff et de Lisa lorsqu'ils s'embrassent pour la première fois. Leur deux visages occupent la place toute entière du plan. 

Très gros plan: Il y a deux insert qui me semble important dans ce film. En premier il y a la montre de Jeff qui nous est rapidement présenté deux fois dont la fonction est de nous donner une idée du temps qui passe entre chaque sortie mystérieuse de son voisin. Le deuxième est le thermomètre qui nous ait présenté 3 fois pendant le film, comme si on voulait montrer le degré de tension ou d'intrigue dans le scénario. 



Champ-contre-champ: Lisa et Jeff ont une grande discussion dans le salon à Jeff concernant leur mode de vie qui est totalement différent. Jeff croit que Lisa ne devrait pas tenir autant à lui et cela provoque une chicane. La discussion est filmer de façon à se qu'on puisse observé le personnage qui parle et ainsi mieux suivre la scène. 



Plan subjectif: Il y a plusieurs plans subjectifs dans le film. Chaque fois que Jeff regarde vers l'extérieur, il s'agit de ce type de plan. On devient les yeux du personnage. Le spectateur voit exactement les mêmes choses que lui et concentre son attention sur les mêmes éléments. Certaine fois il est plus évident de le constaté comme lorsque Jeff prend des jumelles pour voir de plus prêt son voisin. La vision que nous avons suit celle des jumelles, c'est à dire qu'on voit une partie en rond et le reste est ombré de noir. 


Continuité dans la direction: La position de la tête et du regard de Jeff lorsqu'il observe ses voisins suit exactement la direction dans laquelle il fixe l'action. Lorsqu'on voit qu'il change son regard de place, la caméra situ exactement le lieux ou se passe la nouvelle action qu'il scrute. 

Scène alternée: Il y a plusieurs scènes alternées dans ce film car tous les voisins de Jeff font quelques choses en même temps que lui. Par contre, la scène au tout début du film, lorsque Jeff parle au téléphone avec son employeur, on fait une alternance entre lui, assit dans sa chaise roulante en parlant au téléphone, et entre l'action qu'il observe, soit la danseuse de ballet qui habite en face de chez lui et qui fait sa toilette en se dandinant.  Il s'agit d'une bonne exemple d'alternance entre des actions qui se font simultanément.  


Réalisation de 1954 par Alfred Hitchcock. Les acteurs principaux sont nul autre que James Stewart et Grace Kelly. 




 

mercredi 26 septembre 2012

E.T l'extraterrestre

Résumé: Un petit garçon au nom d'Elliott trouve un extraterrestre dans sa remise à jardin. Stupéfait, il entreprend de le cacher dans sa chambre et d'apprendre à le connaître. Elliott, aidé de son frère et de sa soeur, vont donc trouver un moyen pour qu'E.T puisse envoyer un message sur sa planète pour que ceux qui l'on laisser sur Terre reviennent le chercher et qu'il puisse retrouver sa maison.

Appréciation: Ce film est très captivant. La dernière fois que je l'ai écouté, je devais avoir 8 ou 9 ans alors les perceptions que j'avais face à ce film ne sont plus du tout les mêmes. Un film joyeux, qui m'a fait rire et rappeler de bons souvenirs. 


Éléments cinématographiques: 


Split screen : il n’y en a pas.

Règle des tiers : Lorsqu’Elliott fait couler de l’eau dans le bain et qu’il explique à E.T. d’où arrive l’eau. On le voit dans le tiers droit de l’écran, ce qui attire plus l’œil du spectateur.

Champ-contre-champ : Lors de la discussion autour de la table entre Elliott, Michael leur mère Marianne et leur petite sœur Gertie. Ils parlent de la chose étrange qu’Elliott à vu dans le champ et de l’halloween qui arrive. La caméra se place toujours derrière le sujet qui est le récepteur du dialogue de façon de bien voir l’émetteur en action.

Hors-champ : Lorsque le téléphone sonne et que Marianne répond alors que la caméra est fixée sur Gertie qui sort de sa chambre avec un chariot pour aller rejoindre E.T dans la chambre d’Elliott. On entend le début de la discussion de Marianne alors que la caméra ne lui porte aucune attention.

Profondeur de champ : On cadre l’action principale sur Marianne qui défait ses sacs d’épicerie alors que Gertie et E.T. sont debout dans la cuisine près du frigidaire. On met en flou ses deux derniers personnages car la caméra suit le personnage de Marianne dans sa fureur et non les autres qui sont autour. 

Plan séquence : Longue scène autour de la table au tout début du film lorsque Michael et ses amis jouent au carte dans la cuisine. Il y a Elliott qui tourne autour d’eux pour entrer dans le jeu avec les garçons qui se moque de lui et qui l’envoie aller chercher la pizza.

Plan de grand ensemble : il n’y en a pas.

Plan d’ensemble : Au début du film lorsqu’on voit le quartier de maisons dans lequel se trouve la maison d’Elliott et de beaucoup d’autres. On voit la même prise deux fois, une de nuit avec les lumières des maisons allumées, et l’autre de jour ou on voit le quartier et les alentour.

Plan moyen : On voit Elliott de la tête aux pieds lorsque celui-ci lance une balle de baseball dans la remise à jardin derrière sa maison et qu’elle lui revient. On voit le décor autour de lui, soit un champ puis la remise qui se trouve dans un halo de lumière.

Plan américain : il n’y en a pas.

Plan rapproché taille : Lorsque Marianne est en robe de chambre au début du film et fait le ménage de sa cuisine alors que Michael et ses amis jouent aux cartes. La caméra la cadre de la taille jusqu’au dessus de la tête avec l’ensemble du décor de sa cuisine.

Plan rapproché épaule : Lorsqu’Elliott est effrayé et cri dans le champ car il vient de voir E.T. pour la première fois.

Gros plan : Sur le visage d’E.T. lorsqu’il a une couverture sur sa tête dans le panier du vélo juste avant de s’envoler dans le ciel avec Elliott. Son menton et son front sont tous les deux coupé. On voit les yeux, le nez et la bouche plus que le reste.

Très gros plan : La caméra s’approche des petits bonbons qu’Elliott à laisser dans le bois pour qu’E.T. revienne le voir. Un homme les trouvent sur le sol et la caméra s’approche de sa découverte. Comme il fait noir, les bonbons sont éclairés par la lampe de poche de l’homme. On fait un très gros plan sur ces bonbons car ils ont une fonction importante dans le film.

Plan subjectif : Lorsqu’ E.T est déguisé en fantôme pour l’halloween. Ses yeux deviennent alors la caméra. De plus, comme il est déguisé en fantôme et qu’il y a des trous dans un drap au niveau des yeux pour qu’il voit, la caméra nous fait voir l’action au travers de c’est deux petits trous.

Vue en plongée : Lorsqu’ E.T. fait voler des balles dans la chambre d’Elliott pour montrer d’où il vient. La caméra suit les balles alors que les personnages restent au sol. La caméra va donc presqu’au dessus de leur tête, ce qui donne une vue en plongée de l’action. On comprend alors qu’Elliott, Michal et Gertie se sentent faible et effrayés face à la force d’E.T.

Vue en contre-plongée : Lorsqu’Elliott vient de perdre E.T. dans le bois. Une fois chez lui, Michael lui demande ou est E.T. Comme Elliott est faible et malade, la caméra le prend en prise de dessus, alors que Michael est prit de dessous pour faire comprendre au spectateur qu’il à la situation sous contrôle.

Overhead shot : il n’y en a pas.

Panoramique horizontal : il n’y en a pas.             

Panoramique vertical : La caméra se déplace du haut vers le bas sur l’horloge dans la maison de Marianne lorsque celle-ci regarde l’heure et constate que ses enfants ne sont toujours pas revenus de leur soirée d’halloween.

Travelling avant : La caméra s’approche d’Elliott lorsque celui-ci dort assit sur une chaise à l’extérieur de sa maison et qu’il voit pour la deuxième fois E.T. sortir de sa remise à jardin. La caméra s’approche de son visage pour qu’on distingue bien ses émotions de terreur et à la fois d’étonnement.

Travelling arrière : On voit la maison d’Elliott vu de l’extérieur, puis la caméra se recule pour agrandir son cadre. Ainsi on voit qu’il y a une camionnette stationner dans la rue devant leur maison qui les observe. De cette façon, on découvre la menace pour E.T. et Elliott.

Travelling vertical : il n’y en a pas.

Travelling latéral : Lorsqu’ Elliott est à vélo avec E.T. dans le bois et que ce dernier est assit à l’avant du vélo dans un panier. La caméra suit leur déplacement de façon à les voir profil, se déplacer de la gauche vers la droite.

Travelling circulaire : il n’y en a pas.

Zoom avant : il n’y en a pas.

Zoom arrière : il n’y en a pas.

Caméra à l’épaule : Vers la fin lorsque le gang de garçon est à vélo pour aller sauver E.T. la caméra à certain moment se trouve à l’épaule. On simule alors le déplacement des garçons sur des bicyclettes et leur déplacement. On sent les vibrations des vélos.

Continuité dans la direction : Lorsque Michael part à vélo retrouver E.T. dans la forêt. Il doit s’enfuir d’une voiture qui le pourchasse alors il va dans plusieurs directions, mais la caméra le suit toujours de façon à ce que son déplacement soit bien compris et crédible. Lorsqu’il quitte le champ, il revient dans le même angle qu’il en est sorti.

Ellipse : Lorsqu’Elliott se rend au bout de sa cours de maison pour attendre la pizza. Quelques secondes avant, il était dans la maison avec les amis de son grand frère. On ne voit pas son déplacement, mais il est facile de constater qu’il s’agit de la suite de la scène d’avant.

La surimpression : Lorsque Michael se couche dans le garde  robe, là ou était la maison d’E.T. dans la chambre d’Elliott, il y une surimpression d’image, soit celle ou il se couche et celle de son réveille pour explique l’effet d’une ellipse, alors d’un saut dans le temps.

La scène alternée : Lorsqu’Éliote est à l’école et fait des expériences avec des grenouilles alors que E.T. se trouve dans sa maison et écoute la télévision. On voit ce que les deux font à tour de rôle alors qu’ils ne se trouvent pas à la même place.

Erreur de continuité : pas trouvé dans le film.

mercredi 19 septembre 2012

Kill Bill

Résumé----

Il s'agit de l'histoire d'une femme, qui porte le nom de code de Black Mamba, et qui cherche à se venger contre les gens qui ont saboter son mariage et tuer tous ceux qui lui étaient précieux. Ce film d'action est séparé en chapitre de mission pour que l'on puisse bien comprendre et suivre les étapes que cette femme franchie. Le personnage principale est donc à la recherche des responsables de ce coup monter pour tous les tuer un à un. Son but ultime étant de retrouver Bill, l'homme qui est à la base des malheurs qui lui arrive.


Appréciation----

Ce film est un très bon film d'action. La façon dont il à été crée rend certaines scène très intéressantes. La musique ainsi que les effets sonores et  visuels rende la chose plutôt comique. C'est un film divertissant qui m'a fait bien rire. Je suis rester accroché à l'histoire et j'ai bien hâte de visionner la suite.

Kill Bill, est un film d'action qui a fait son apparition sur le grand écran en 2003. Il s'agit d'un film qui a été réalisé par Quentin Tarantino, avec l'aide de son actrice principale, Uma Thurman.


Éléments cinématographiques----

Le split-screen : Il y a une scène ou on peut voir d'un côté une patiente couchée dans un lit d'hôpital et de l'autre, une femme qui se déguise en infirmière et qui se dirige dans la salle de la patiente.

La règle des tiers: Il y a une alternance entre Black Mamba et O-Ren, son ennemi, lors de leur dernier combat. Les femmes se font face dans la scène, mais on les cadres une à une dans un tiers respectif. O-Ren est cadré à la gauche et regarde droit devant elle alors que Black Mamba  est cadré à droite de la règle des tiers et regarde en direction de l'autre femme.

Le champ-contre-champ: Il y a une discussion dans le premier chapitre du film entre Black Mamba et une autre femme dans une cuisine. Cette discussion dure pendant quelques minutes et la caméra suit les personnages en faisant un alternance de visage pour qu'on puisse voir qui parle et à quel moment.

Le hors-champ: Il y a un prolongement de champ lorsque O-Ren s'exprime face à un groupe d'homme japonais dans une salle de conférence, en anglais. On peut entendre une femme traduire ce qu'elle dit à ces derniers mais on ne la voit pas.

La profondeur de champ: Il y a un focus sur la patiente dans son lit d'hôpital lorsque l'infirmière parle au téléphone. On voit Black Mamba étendu dans le lit puis de l'autre côté, il y a l'infirmière qui lui tourne le dos et qui parle au téléphone. Celle-ci est plus flou que la patiente. De plus, l'infirmière fait face à une fenêtre, d'où on peut aussi apercevoir de la pluie tomber. 

Plan séquence: Il y a un long plan qui suit la troupe de japonais de O-Ren lorsqu'ils entre pour la première fois dans un petit bar. On les suit d'abord dans un couloir, puis dans une salle commune où un spectacle de musique est donné et ou des gens dansent. La caméra les suit lorsqu'ils montent des marches d'escaliers puis finalement lorsqu'ils prennent place dans une salle privée.

Le plan de grand ensemble: il n'y en a pas.

Le plan d'ensemble: Ce plan est présent dans ce film lorsqu'on sélectionne quelques édifices de la ville de Tokyo pour mieux identifier les lieux où se déroule l'action.

Le plan moyen: On cadre un infirmier de la tête au pied dans le décor de l'hôpital qui avance rapidement dans un corridor pour se rendre dans la chambre de la patiente. 

Le plan américain: il n'y en a pas.

Le plan rapproché épaule: La caméra fixe Black Mamba dans son lit d'hôpital du bas des épaules jusqu'au dessus de la tête.

Le gros plan: La première scène du film est un gros plan. On cadre le visage terrorisé et sanglant de Black Mamba face à l'homme qui l’effraye le plus.

Le très gros plan: La caméra fait un très gros plan sur un petit moustique qui vient se déposer sur la peau de Black Mamba alors qu'elle est encore dans son lit d'hôpital. Le moustique est cadré de cette façon puisqu'on peut accorder sa présence avec le réveil de la femme.

Le plan subjectif: La caméra devient les yeux du shérif lorsque celui-ci conduit sa voiture. On prend sa place et on peut voir la route ainsi que des pairs de lunette étalées sur son par-brise. De plus, la caméra n'est plus stable, ce qui nous donne comme effet d'avoir la sensation d'être assis dans la voiture et de sentir des bosses.

La vue en plongée: Lorsque le shérif et un policier son dans l'église et qu'ils regardent le corps de la femme sur le plancher, la caméra est au dessus des sujets pour leur donner un effet de puissance face au corps.

La vue en contre-plongée: Dans le premier chapitre du film, il y a un combat entre Black Mamba et une autre femme dans la salon d'une maison. Lors de se combat, il y a plusieurs prises de vue. La caméra est souvent sous les sujets pour leur donner un effet menaçant et puissant aux femmes qui se battent.

Overhead shot: Au tout début du deuxième chapitre , on voit l'intérieur d'une église totalement au dessus de l'action. Il y a plusieurs corps allongés sur le sol, suite à un gros combat. De plus, il y a des agents de services qui prennent des photos des corps et qui analyse la situation.

Le panoramique horizontal: La caméra fixe O-Ren qui regarde droit devant elle. Un narrateur donne quelques précisions sur sa personne puis, d'un geste brusque et rapide, la caméra se tasse vers la droite sur le visage d'une autre japonaise qui est maintenant devenu le sujet du narrateur.

Le panoramique vertical: il n'y en a pas.

Le travelling avant: La caméra avance tranquillement dans le couloir de l'hôpital puis entre dans la chambre de la patiente et s'approche du sujet qui est étendu dans son lit. Cette action ce passe juste avant le split screen.

Le travelling arrière: Lorsque le japonais du restaurant est dans le grenier de sa bâtisse avec Black Mamba, il écrit le nom de «Bill» dans la fenêtre. La caméra le fixe de la tête au épaule et recule tranquillement de façon à ce qu'on le voit de la tête au pied. L'homme se dirige alors vers la trappe du grenier pour redescendre au premier plancher.

Le travelling vertical: La caméra suit de la tête au pied l'infirmier qui vient d'entré dans la chambre de la patiente et de découvrir le corps d'un homme sur le sol ainsi que l'absence de la femme dans son lit.

Le travelling latéral: On suit le déplacement de Black Mamba lorsqu'elle est en chaise roulante à sa sortie de l'hôpital dans un stationnement souterrain. Elle roule rapidement pour trouver sa voiture et quitter cette place.

Le travelling circulaire: Lors du combat entre Black Mamba et une centaine de japonais à Tokyo, la caméra fait le tour de l'action qui se passe autour du sujet principal. Les japonais sont tous en position d'attaque.

Zoom avant: Un zoom rapide sur le visage de Gogo, une élève de O-Ren, juste avant de montrer quelques images de son histoire.

Zoom arrière: il n'y en a pas.